Une cafétéria pour MAYOTTE

Un groupe d’élus CAVL avec des adultes du lycée ont décidé de rouvrir la cafétéria qui était fermée depuis décembre 2024 pour récolter de l’argent pour les sinistrés de Mayotte.

Il a fallu d’abord faire un gros nettoyage du local, choisir ensemble les produits à vendre et s’organiser.
Nous ouvrons lors des récréations de 10h. Au début, nous pensions vendre que quelques articles pendant 15 jours mais vu le succès, nous avons élargis le choix et nous continuerons l’aventure au moins jusqu’aux vacances de février.
En plus de récolter des fonds cela nous permet de travailler ensemble élèves, adultes du LP et du LGT. Les acheteurs sont également contents de se régaler tout en contribuant à faire une bonne action.

En une semaine nous avons récolter 410 euros pour les sinistrés !

L’équipe du lundi 20 janvier

Journée Portes Ouvertes 2025

Edition 2025

samedi 25 janvier 2025 de 8h30 à 12h

 

En cette période de l’année où les élèves sont en phase de questionnement sur leur devenir, la matinée portes ouvertes reste un rendez-vous incontournable pour découvrir le campus, labellisé « lycée de métiers scientifiques, industriels et de l’automobile ».

 

Comme chaque année, plusieurs parcours seront proposés aux collégiens, aux lycéens et leurs familles.

L’occasion sera donnée aux élèves visiteurs de s’inscrire sur place à des mini-stages. Ceux-ci auront lieu en amont des vacances de printemps.

Cette manifestation s’adresse aux :

  • Elèves de troisième qui envisagent l’entrée en Seconde Générale et Technologique ou en Seconde Professionnelle,
  • Elèves de seconde qui souhaitent une orientation en voie technologique STI2D,
  • Elèves de terminale générale et de terminale technologique qui projettent une entrée en BTS ou en Classe Préparatoire aux Grandes Ecoles d’Ingénieurs (PTSI ou PCSI).

Compte-tenu de la très forte affluence attendue lors de cette manifestation, nous conseillons aux visiteurs de se présenter dès 8h30.

Attention le dernier départ de visite a lieu à 11h30.

Xème journée des Nobel, la TG2 y était !

C’est le vendredi 6 décembre 2024 que s’est tenue la 10e édition de la Journée Nobel , sur le Campus de Trotabas à Nice.

L’objectif de cette journée, unique en France, est d’informer, grâce à des présentations courtes, sur les raisons qui ont conduit les Lauréats 2024 à recevoir les prestigieux Prix Nobel en Médecine, Physique, Chimie et Littérature.
Installés confortablement dans le magnifique amphithéâtre Boulevert, la classe de TG2 a pu en profiter intégralement.
Pour clôturer l’événement, une conférence d’honneur a été donnée par le Pr Didier Queloz, Nobel de Physique en 2019, pour la découverte de la première exo-planète.

Celui-ci a très simplement accepté ensuite d’échanger avec les jeunes, et même de poser avec eux !

 

Gabriel Bain élève en CAP Peinture: Une performance impressionnante au volant de la Caterham 340 en 2024

En 2024, Gabriel Bain, un talent émergent dans le monde des sports mécaniques, a marqué les esprits en participant à la compétition Caterham 340, un événement qui rassemble les meilleurs pilotes de la célèbre marque britannique. Cette année encore, Bain a non seulement confirmé ses compétences au volant, mais a aussi fait preuve d’une détermination et d’une stratégie qui lui ont permis de se distinguer.

Avant de prendre le départ de cette compétition, Gabriel Bain s’est consacré à une préparation intensive, visant à maîtriser chaque aspect du Caterham 340, une voiture réputée pour sa légèreté, sa maniabilité et sa capacité à offrir des sensations de conduite uniques. Avec son moteur 2.0 litres développant environ 180 chevaux, la Caterham 340 est un modèle qui demande une parfaite gestion de l’équilibre et de la précision dans les trajectoires.

Gabriel Bain, qui a commencé sa carrière dans la compétition automobile par la formule “Caterham Academy en 2023”, a travaillé en étroite collaboration avec son équipe technique Team Saint Eloi Racing pour ajuster chaque paramètre de la voiture, de la suspension au réglage des trains roulants. Son objectif était clair : se préparer à donner le meilleur de lui-même sur une compétition où chaque fraction de seconde compte.

La compétition : un défi à relever

La compétition Caterham 340 2024 a attiré des pilotes venus de plusieurs pays d’Europe, chacun avec son propre style de conduite et ses stratégies bien définies. Dès les premières séances d’essais, Bain à su se faire remarquer. Son habileté à maîtriser la voiture dans des conditions de piste changeantes a été un facteur clé de son succès. La Caterham 340, avec sa direction extrêmement précise et son agilité, a permis à Bain de briller dans les virages serrés tout en maintenant une vitesse constante.

Malgré une concurrence féroce, Gabriel Bain a prouvé qu’il était prêt à affronter les défis de la compétition. Il a su anticiper les trajectoires de ses adversaires et gérer la pression de manière exemplaire, ce qui lui a permis de s’imposer sur plusieurs circuits.

Tout au long de la saison, Bain a affiché des résultats solides, s’imposant comme l’un des prétendants les plus sérieux pour le podium final. Sa régularité et sa capacité à tirer le meilleur parti de chaque cours ont été des atouts décisifs. À chaque épreuve, il a su s’adapter aux conditions de la piste, qu’elles soient sèches, humides ou même glissantes, et prendre des risques calculés pour marquer des points.

La compétitivité de la série Caterham 340 a poussé Gabriel à se surpasser à chaque tour. Malgré quelques défis, notamment des duels intenses et des incidents mineurs, il a su garder son calme et rester concentré, un aspect de son caractère qui a fait la différence. À la fin de la saison, ses performances régulières lui ont permis de se placer dans le haut du classement général. 3ème du championnat 2024.

Gabriel Bain : l’avenir du sport autom

Le passage de Gabriel Bain à la compétition Caterham 340 en 2024 n’est que le début d’une carrière qui semble prometteuse. Ses performances ont montré qu’il possède non seulement le talent nécessaire, mais aussi la capacité à gérer la pression dans des situations de compétition intense.

De plus, la manière dont Bain a développé sa relation avec son équipe, son attention au détail et son approche stratégique sur chaque circuit laissent présager un avenir radieux dans le championnat “Caterham 420 2025” encore plus prestigieuses. Que ce soit en compétition Academy, ou Caterham 340 Gabriel Bain semble prêt à franchir de nouvelles étapes sur le chemin de la gloire.

Quelques videos

Découverte du monde professionnel pour les CAP

Le lundi 25 novembre 2024, les élèves de la classe de 1er CAP Car du lycée professionnel Les Eucalyptus ont eu l’opportunité de visiter l’entreprise Renault Truck Ippolito, un acteur majeur dans le secteur des poids lourds et de la maintenance automobile. Cette visite a permis aux apprenants de découvrir de près le fonctionnement d’une entreprise spécialisée dans la vente, l’entretien, la réparation, la construction, la peinture et le contrôle de véhicules lourds.

Accompagnés de leurs enseignants, les élèves ont été reçus par un responsable M Vincent Quattrone ancien élève du lycée des Eucalyptus (promo 1987) qui leur a expliqué les différents métiers liés à l’entretien et à la réparation des carrosseries des véhicules de plus de 10 tonnes.

Ils ont ainsi pu observer des mécaniciens au travail et découvrir des peintres en action, utilisant des outils hors norme pour la remise en état des véhicules lourds gravement endommagés.

La visite a également été l’occasion de comprendre l’importance du diagnostic électronique dans les réparations modernes, ainsi que l’évolution des moteurs et des systèmes de gestion des camions. Les élèves ont pu poser des questions sur les pratiques professionnelles et sur les possibilités d’évolution dans cette entreprise.

Cette sortie a été très enrichissante pour le groupe, leur offrant une vision concrète de leur futur métier. Elle a renforcé leur motivation et leur compréhension des exigences du secteur, tout en leur permettant de mieux appréhender les outils et techniques qu’ils utiliseront dans le futur.

Les élèves ont exprimé leur enthousiasme à la fin de la visite, soulignant l’importance de ces rencontres avec des professionnels pour leur orientation future. Cette journée a permis de renforcer les liens entre les apprentissages scolaires et la réalité du monde professionnel.

 

MP3D en visite chez Conti

Le 10 octobre dernier, les élèves de seconde Bac Pro MP3D du lycée professionnel Les Eucalyptus à Nice ont eu l’opportunité de visiter l’entreprise Sacome Conti, située à Monaco, en compagnie de leurs enseignants Frédéric Leveille et Richard Gavois.

L’objectif de cette visite était de faire découvrir aux élèves le fonctionnement d’une industrie, de la conception à l’assemblage, à travers l’exemple de la fabrication d’une machine à café.

Les élèves, parmi lesquels Andréa, Yann, Hamza, Aurélien, Adriano, Gabriel et Noé, Amin, Matys, Yacine ont été chaleureusement accueillis par l’équipe de Sacome Conti. Au fil de la visite, ils ont pu observer de près plusieurs étapes du processus industriel. Ils ont particulièrement apprécié les démonstrations des employés, notamment sur l’assemblage d’un châssis. Les échanges ont permis aux élèves de poser de nombreuses questions, que ce soit sur les compétences nécessaires dans une industrie, les parcours de formation, ou encore les salaires et les perspectives d’évolution.

Témoignage de Noah:

« Qu’as-tu retenu de cette visite chez Sacome Conti ? »
« J’ai été impressionnée par la complexité de l’organisation d’une industrie. Tout est tellement structuré, du design des pièces jusqu’à l’assemblage final. Voir chaque étape m’a aidée à comprendre comment une machine à café est fabriquée. »

 

Témoignage de Marwanne :

« Qu’as-tu particulièrement apprécié ? »
« Ce qui m’a marqué, c’est l’échange avec les employés. Ils nous ont expliqué leur parcours, comment ils sont arrivés là, et ça m’a vraiment donné une idée plus concrète du métier. On a aussi parlé de salaire, et c’était intéressant de voir que, dans l’industrie, il y a beaucoup de possibilités d’évolution. »

Cette expérience enrichissante a permis aux élèves de mieux comprendre les rouages d’une industrie et de découvrir des perspectives nouvelles pour leur futur professionnel.

Un grand merci à David BARNOIN et aux employés de SACOME CONTI pour leur formidable accueil !

 

 

Une magnifique année de théâtre pour la 1èreG1 !

Dans le cadre du partenariat du lycée Les Eucalyptus avec le théâtre Anthéa, les élèves de la classe de 1èreG1 ont eu la chance d’aborder certains objets d’étude du programme de français par le biais de sorties au théâtre. Se déplacer dans les lieux artistiques, rencontrer des professionnels, comédiens, metteurs en scène, directeur de théâtre et partager collectivement les sensations de la salle obscure, permet une expérience plus directe et sans aucun doute plus marquante de la représentation des œuvres…

 

Au programme en 2023/2024, « Phèdre » de Sénèque mis en scène par G.Lavaudant ; « Après barbe bleue » réinterprétation du conte et mise en scène de C.Althaus (Compagnie START 361°) ; « Le meilleur des mondes » d’après la dystopie d’A.Huxley, mis en scène par G.Boghossian (Collectif 8) autant de formes littéraires abordées que de transpositions esthétiques et lectures différentes de ces œuvres.

« La dictature parfaite aura l’apparence de la démocratie : une prison sans murs dans laquelle les prisonniers ne rêveront pas de fuir. Un système d’esclavage où, grâce à la consommation et aux plaisirs, les esclaves vont adorer leur condition » (Aldous Huxley). « Cette citation résume exactement ce qui se passe dans la pièce. En effet, le régime politique est bien une dictature où les prisonniers ne cherchent pas à fuir, dû au bonheur facile. » (Candide).

La dictature du bonheur

« Cette société a vu le jour grâce à Ford, qui a réussi à unifier les différentes parties du globe pour la créer. » (Matthieu T.). « La religion n’a pas de place dans Le Meilleur des mondes. » (Michel). « Mais Ford est une sorte de divinité pour eux. » (Meredith). « La vénération de Ford évoque une adoration quasi-religieuse du progrès technologique, et de la consommation de masse. » (Nolan). « Henry Ford est l’inventeur du travail à la chaîne, notamment avec la voiture Ford-T. D’ailleurs, l’année est 637 NF (notre Ford). » (Candide).

« Cette société est hiérarchisée et dirigée par les dix pères fondateurs : Mustafa Mond est celui de l’Europe Occidentale, et présente un show visant à promouvoir celle-ci. » (Matthieu T.) C’est une manipulation de la conscience collective. » (Romain I.). « Une propagande importante permet de supprimer tout souvenir ou vestige de la civilisation passée, (en détruisant les monuments, bibliothèques, etc.), et en diabolisant toutes les coutumes de cette société. Cette propagande passe par la diffusion très régulière d’une émission The New World Show. » (Noa).

« La devise de cette société : Communauté, Identité, Stabilité. » (Candide).

« Le soma est une drogue très puissante : 100 mg suffisent à manipuler quelqu’un pendant tout un week-end. Il permet le contrôle total d’un individu. » (Romain I.). « Une drogue « sans danger » qui permet d’être heureux (mais qui diminue l’espérance de vie de ses consommateurs). » (Marlon). « Le soma vise à calmer ou à faire voyager les gens. Plus la dose est forte, plus l’effet est important. » (Matthieu T.). « Lorsque les personnages s’agacent, s’énervent, crient de manière négative, ils sont tout de suite obligés et rappelés de la consommer, par l’intelligence artificielle. » (Michel). « On peut dire que l’Intelligence Artificielle Amos, et la substance soma sont liées. Elles ont le même nom inversé. » (Alan). « Soma fait penser à sommeil. On peut en déduire que cette dernière endort le système de réflexion du cerveau, permettant de ne plus être en désaccord. » (Louis).

Et les individus dans tout ça ?

« 600 ans dans le futur, c’est un monde sans guerre, sans famine et sans corruption, mais aussi sans humanité. Pour moi, les personnes ont abandonné leur liberté, mais à ce prix, sont devenues vides à l’intérieur, interchangeables, exactement comme dans la pièce La Cantatrice Chauve de Ionesco » (Marlon).

« Il y a une hiérarchie classée par des lettres. Cette hiérarchie est basée sur les compétences intellectuelles, la profession, le nombre de contacts sociaux et le nombre de relations sexuelles. » (Zied). « Les individus sont classés dans des catégories comma Alpha +, Alpha -, Bêta +. Ces catégories déterminent la classe sociale et la réussite de la personne. Il y a également les sauvages. Eux ne sont pas considérés comme des individus. » (Meredith). « Les sauvages sont des humains comme nous, enfermés dans une clôture comme des animaux ; ils vivent selon les règles que l’on utilise à notre époque. » (Matthieu T.) « Les Delta et Epsilon sont des gens appartenant aux faibles classes sociales, et les Alpha et Bêta appartiennent aux classes supérieures. » (Candide).

« Tous les sentiments forts ont fait place au plaisir et à la gratification instantanée. C’est pourquoi toute notion de famille est éradiquée par le gouvernement. » (Romain I.) « Les enfants se font alors artificiellement. Ce sont des bébés éprouvettes, qui n’ont aucune connaissance de la famille. » (Meredith). « Les bébés naissent dans des cuves grâce à des processus de clonage. Ils sont élevés par le gouvernement. » (Marlon). « Totalement contrôlés jusqu’aux gènes. (Ethan). « La transformation des individus en produits fabriqués en série soulève des questions sur la perte d’identité individuelle et de la liberté personnelle. » (Nolan).

« On préconise un bannissement avec les sauvages si l’on vient à avoir un enfant. » (Matthieu T.). « Toute notion d’isolement est également punie et le gouvernement impose une connexion régulière aux autres sur internet. » (Romain I.). « Le simple fait d’avoir un appel en « réseau fermé », c’est-à-dire seul à seul avec quelqu’un, est considéré comme illégal et très mal vu. La vie privée n’existe pas. » (Noa). « Une femme enceinte est vue comme une abomination, et la famille comme un cadre sujet à créer des tensions, et donc des sentiments antisociaux. » (Adrien).

« Le sexe est une part importante de cette société, votre place dépend de votre taux de multipartenaires, qui indique si vous avez plusieurs partenaires sexuels. » (Yann). « Tout le monde sait qui a couché avec qui, et, il n’y a dès lors plus d’intimité, étant donné que les rapports sexuels sont faits tout en étant connecté au monde. » (Yanis).

Le cas John et Lenina

« John est un sauvage. Cela est contradictoire pour le spectateur car il semble être le plus humain. » (Romain I.). « C’est un homme cultivé. » (Marlon). « Son rejet de la culture propre à cette société de consommation, et son attachement à la littérature et à l’histoire symbolise la lutte pour préserver l’humanité. » (Nolan).

« Il est né d’une mère Bêta moins, Linda, et d’un père, dont on connait peu l’existence. Il est présenté comme un animal et on l’invite pour se moquer de lui. Les dirigeants s’en servent pour montrer à quel point les sauvages sont sales et hors des codes. » (Matthieu T.) « Nous savons qu’il est né d’une réelle union et non pas en laboratoire comme les autres individus. » (Zoé). Il va « découvrir par le biais de Bernard Marx, l’existence de son père Mustapha. » (Michel). « La société fordesque le prend alors comme un atout médiatique et touristique. » (Adrien). « John est un hybride : il est né de parents civilisés ; son père est un Alpha + et sa mère une Bêta – mise enceinte illégalement dans une réserve de « sauvages », dans laquelle le père les abandonne. » (Yann).

« Il a un coup de foudre sentimental pour Lenina, alors qu’elle n’y voit qu’un objet pour subvenir à son nombre de relations sexuelles. » (Matthieu T.). « Vu qu’il vient du milieu des sauvages, il lui apporte de la notoriété. » (Meredith). « Il tombe amoureux et veut l’épouser. Le souci, c’est que Lenina ne connait pas ce terme, car l’amour, tel que nous le connaissons, a été balayé par la société. » (Ethan). « John cherche à vivre marié avec Lenina, et à avoir des enfants d’elle (car il vivait isolé du « Meilleur des mondes » dans une réserve indienne). Cela semble inconcevable à Lenina pour qui le modèle de la société convient. » (Yanis).

« A la fin, John décide de se suicider, prouvant qu’il préfère être libre que d’être influencé par cette société qu’il rejette plus que tout. » (Hugo C.). « John finit par se pendre, c’est un signe de désespoir face à un monde où règne un eugénisme radical. » (Zoé). « Ici le metteur en scène fait intervenir la conscience du spectateur, qui se met à la place de John. Les humains ne sont pas adaptés à de telles conditions de vie et la seule échappatoire est la mort. » (Romain I.) ; « Il est possible qu’il ait voulu reproduire le sacrifice du Christ : se sacrifier pour laver la société de ses péchés, ou bien pour lui faire entendre raison. » (Yann).

Des noms qui reviennent en toile de fond…

« La plupart des noms étaient des noms qui en faisaient penser à d’autres, soit par le nom de famille, soit par le prénom. » (Zoé).

« Napoléon, Staline, on peut imaginer que le metteur en scène a mis en avant ces noms pour constamment rappeler au spectateur que ce qu’il est en train d’observer est une dictature déguisée en démocratie. » (Romain I.)

« Le nom de Marx est en désaccord avec la société de consommation et de hiérarchisation, qui vise à devenir individualiste. Le communisme prôné par Marx incite à partager et à s’entretenir avec les autres. » (Matthieu T.)

« Darwin Bonaparte, qui fait référence à Napoléon Bonaparte et ironiquement à Darwin, père fondateur de la théorie de l’évolution, qui ne fonctionne plus dans cette société. » (Candide).

« Les noms qui reviennent sont un rattachement subtil au passé, un rappel triomphant, car des noms très connus auparavant sont devenus inconnus à cause de l’Intelligence Artificielle qui a réussi à tout faire oublier sur le passé de l’humanité. » (Marlon). « Ces noms ont pu être choisis pour montrer que, malgré leur intention de vouloir oublier le passé, les habitants du nouveau monde en sont encore imprégnés. » (Yanis).

Une mise en scène atypique

« La mise en scène est surprenante et très originale, on voit la pièce comme si l’on regardait depuis une télévision. » (Michel). « Cet aspect d’appartements divise alors le plateau, permettant de plus distinguer personnages et scène. » (Louis). « L’utilisation d’échafauds pour représenter les différents étages m’a aidé à mieux comprendre la mise en scène avec chaque personnage chez lui. » (Yanis). « Pour moi, la mise en scène est une des véritables forces de cette œuvre ; elle m’a vraiment impressionné avec les deux plans, dont le premier, qui peut s’enlever. » (Noa). « Les visuels apparaissent en trois dimensions grâce à un rideau positionné au-devant de la scène. » (Zoé).

« En effet, on ne voit jamais les comédiens directement, mais seulement à travers des draps. Certains effets sonores et lumineux servent à prévenir spectateurs et personnages qu’ils sont aux prises avec des actions anti-sociales. On le remarque lorsque Amos prévient que John sort des codes, elle le lui fait remarquer avec une lumière rouge et un effet sonore reconnaissable. » (Romain I.). « Les couleurs passent de simples lumières à des lumières rouges quand un acte répréhensible dans cette société est effectué. Ou, également, lorsque Bernard Marx s’isole pour un voyage avec les animaux marins, des lumières bleues l’environnent, le son immersif de la mer. » (Michel).

« J’ai été impressionné par le travail de Gaëlle Boghossian, car il est extrêmement difficile d’assimiler numérique et jeu d’acteur. De plus, la scène était vivante due aux décors, aux couleurs et aux musiques ; les effets visuels se mariaient à la perfection avec la scène, notamment le The New World Show, ou encore, les scènes aquatiques. » (Candide).
« C’est une réalisation surprenante mais qui porte ses fruits, car, lorsque les effets visuels et sonores s’arrêtent, et que nous pénétrons dans le véritable monde, il devient alors facile d’en voir les défauts. » (Adrien).

« J’ai particulièrement apprécié les journaux TV qui sont animés avec des effets en trois dimensions. » (Marlon).

Une pièce qui évoque tant d’autres référents…

« Enfin, ce texte fait également penser à Matrix, le film de science-fiction où les êtres humains sont conservés dans des capsules, et où ils vivent dans un monde virtuel appelé La Matrice, qui éradique toutes les personnes qui réfléchissent ou qui nuisent au bon fonctionnement de l’ensemble. » (Romain I.).

« Ce spectacle m’a fait penser à 1984. Cette société est également une société futuriste qui ne connait pas l’amour et où les moindres faits et gestes sont contrôlés et observés. » (Meredith). « Dans celle-ci, on parle une langue unique. Une langue dans laquelle le vocabulaire est appauvri. Or, le vocabulaire est la fondation de la pensée. Si le vocabulaire est réduit, la pensée l’est tout autant. » (Adrien).

« Ce spectacle m’a fait évoquer Detroit : Become Human, un jeu vidéo, qui traite d’une vie se déroulant dans un futur où l’informatique est tellement développée qu’elle devient capable de réfléchir par elle-même. » (Michel).

« Ce spectacle m’a rappelé des choses comme Fahrenheit 451, livre dans lequel les livres et la culture sont prohibés, avec des personnages reclus, se contant les histoires et les connaissances, tandis que les pompiers brûlent les livres. » (Yann).

« Ce spectacle m’a rappelé le film Bienvenue à Gattaca, un film qui parle tout autant d’intelligence artificielle que de sexualité ou d’un monde différent. » (Zoé).

« Cette pièce m’a rappelé la série Black Mirror sur Netflix, car il y a le même système de notation sur les réseaux sociaux que dans la pièce. » (Louka).

« Cette pièce a également fait écho en moi, me rappelant une autre œuvre vue l’année dernière dans le Festival Off d’Avignon, qui racontait également une dystopie, dans un cadre très futuriste, contrôlé par une IA. » (Noa).

En conclusion

« Ainsi, tout cela fait bien de cette pièce un spectacle total. » (Candide).

« On retrouve un monde qui finit détruit ou qui l’est déjà, ce qui me fait me questionner sur l’avenir de la société et les progrès toujours plus croissants de l’informatique et des sciences. » (Michel). « J’interprète cela comme une sorte de dénonciation de notre société où beaucoup de gens passent plus de temps sur leurs téléphones portables, ou sont constamment connectés via des ordinateurs ou consoles de jeux vidéos plutôt que de sortir pour passer du temps en famille ou entre amis. » (Alan).

« J’ai été agréablement surpris par ces différents éléments, qui ont rendu cette pièce, exceptionnelle en son genre. » (Ethan).

« Je dois avouer que j’ai été extrêmement surprise face à la technologie et l’innovation de cette pièce. Cela change des autres pièces classiques. » (Chloé).

« L’addiction au bonheur facile me semble cauchemardesque parce qu’elle n’offre aucun espace d’analyse, aucune issue, aucune possibilité de rébellion, elle est le bras armé d’une dictature pernicieuse…Comment se révolter contre le bonheur ? » Une réflexion de Gaële Boghossian qui a été le point de départ motivé d’un questionnement plus large au moment d’adapter Le meilleur des mondes et qui reste toujours autant d’actualité !
Au terme de chaque représentation, l’ensemble des thématiques abordées (emprise, relations femme/homme, dépendance, aliénation, pouvoir…) ont beaucoup fait réfléchir les élèves et ont permis des échanges nourris dès la sortie du théâtre et tout au long du trajet de retour vers Nice dans la bonne humeur…

Voici quelques liens vers des podcasts radio réalisés par les élèves de 1èreG1 :

 

 

HISTOIRES DE MIGRATIONS…

« Les flux migratoires internationaux représentent des enjeux très différents (géographiques, économiques, sociaux ou encore politiques et géopolitiques). » (programme de géographie de 2e générale et technologique). Le cinéma permet d’incarner ces enjeux géographiques et civiques. Deux approches ont ainsi été proposées aux 2es 4 et 5 de notre lycée : Moi Capitaine, récit frontal et documentaire sur les routes clandestines des migrations africaines actuelles, et La Traversée, conte universel sur l’exil forcé.

En janvier 2024, alors que l’ONU évaluait à plus de 2500 le nombre de migrants disparus en Méditerranée pour la seule année 2023, sortait dans les salles françaises Moi Capitaine. Nous pouvons y suivre Seydou et Moussa, deux Sénégalais de 16 ans, qui décident de rejoindre l’Europe. Mais les désillusions s’enchaînent sur les routes clandestines des migrations, au Niger et surtout en Libye. Le réalisateur italien Matteo Garrone confie avoir voulu rendre de l’humanité à des flux migratoires souvent réduits aux mêmes images et à des chiffres. Il évoque « des embarcations retournées en pleine mer, des cadavres flottants, des migrants désespérés implorant de l’aide, l’habituel décompte des morts et des vivants. Je m’étais malheureusement habitué à n’y voir que des chiffres, et non plus des êtres humains ». Ce film « au plus proche de la réalité » (Mamadou Kouassi, consultant au scénario), a donc allié un recueil minutieux de témoignages et une collaboration constante avec des jeunes filles et garçons rescapés de cette longue traversée, de l’Afrique d’abord, de la Méditerranée ensuite.

Cette fidèle reconstitution a parfois ébranlé nos élèves, qui ignoraient entre autres l’existence des marchés aux esclaves libyens, ou la durée d’un voyage migratoire (qui peut s’étirer sur plusieurs années). Deux intervenants de l’association de sauvetage en mer SOS Méditerranée ont apporté un éclairage complémentaire sur les traversées de cette mer à bord d’embarcations de fortune, l’assistance défaillante des Etats riverains aux naufragés, et la difficile reconstruction physique et psychologique des survivants.

En 2006, Patrick Zachmann, photographe pour l’agence Magnum, signe des reportages sur les migrants venus d’Afrique échoués sur l’île de Lampedusa. En regardant ces images, son épouse Florence Miailhe repense à son arrière grand-mère qui, en 1905, avait quitté Odessa (Ukraine) pour fuir les pogroms, passant par la France et la Roumanie avec ses dix enfants. C’est ainsi que naît l’idée de La Traversée, film d’animation sorti en 2021. Un frère et une sœur, Kyona et Adriel, fuient leur village pillé pour rejoindre un pays au régime plus clément. Ils traversent un continent imaginaire, dont la géographie et les noms évoquent toutefois des réalités européennes. C’est donc un récit atemporel et à vocation universelle sur les migrations et l’exil que livre la réalisatrice. L’odyssée de Kyona et Adriel résonne avec celle de Seydou et Moussa. Les avatars modernes d’ogres ou de sorcières croisés dans La Traversée, des marâtres et des voleurs d’enfants, sont aussi les passeurs, les mafias libyennes et les marchands d’esclaves de Moi Capitaine.

A travers deux expériences cinématographiques très différentes, nos élèves ont ainsi appréhendé les réalités des phénomènes migratoires. Au-delà des chiffres, des catégorisations géographiques et causales (migrations socio-économiques, politiques, climatiques), ce sont des trajectoires individuelles et familiales qui se dessinent.

Intervention ONG SOS Méditerranée

jeudi 18 avril 2024 – Lgt Les Eucalyptus

Dans le contexte d’un projet autour des migrations alliant objets d’étude au programme, engagement citoyen et ouverture culturelle, trois classes du LGT Les Eucalyptus (élèves de seconde et de terminale) ont pu rencontrer Philippe Collet et Sabine Hachon, bénévoles au sein de l’organisation SOS Méditerranée.

Un peu d’histoire…En 2013, devant la catastrophe humanitaire qui s’intensifie au large de l’île de Lampedusa, l’action Mare nostrum est mise en place et financée par l’Europe, mais elle prend finalement fin un an plus tard. C’est alors que l’allemand Klaus Vogel et la française Sophie Beau pensent créer une association civile et européenne de sauvetage en mer, SOS Méditerranée naît en 2015. Un groupement d’engagés humanitaires et de militants de quatre pays (Allemagne, France, Italie, Suisse) coordonnent et font vivre l’organisation. En 2016, L’Aquarius, le premier bateau sauveteur est affrété par SOS, il est aujourd’hui remplacé par l’Ocean Viking qui bat pavillon norvégien. L’Ocean Viking peut secourir jusqu’à 500 personnes, MSF puis FICR assure le suivi médical et 22 corps de métier se coordonnent lors des actions.


Le droit maritime international n’étant malheureusement pas respecté : obligation de secourir ; secourir indépendamment de la nationalité ; débarquer rapidement ; débarquer dans un lieu sûr et sécure…l’organisation a à cœur de rappeler régulièrement ses objectifs : Sauver / Protéger / Témoigner.

En 2024, le constat est très pessimiste ! L’Europe qui finance la Libye pour « réguler » les passages, minimise en réalité les trafics et la corruption incontrôlables ancrés dans les pratiques et ferme les yeux sur les atrocités que rencontrent les migrants tout au long de leur périple, vols, viols, emprisonnement, tortures…l’horreur dans l’horreur. L’agence Frontex (1) tente d’agir en modératrice mais n’a que peu d’influence sur l’ensemble de ces réseaux enkystés. Aujourd’hui les pays qui continuent d’accueillir sont la France, l’Espagne, l’Italie et Malte. La Grèce n’a plus la capacité d’accueillir.

Les routes migratoires de l’Afrique vers l’Europe

Un bilan positif mais néanmoins frustrant : 40000 personnes sauvées depuis 2016, 44 nationalités différentes, de plus en plus de mineurs isolés, des bébés (la plupart des bébés qui naissent en mer sont le fruit de viols, on leur donne la nationalité norvégienne, pavillon de l’Ocean Viking). Porter secours en mer est une action très périlleuse, cela se passe souvent de nuit, dans des conditions météorologiques et maritimes dangereuses, les équipes sont composées de grands professionnels habilités et volontaires pour ces sauvetages, les risques sont grands et la mise en place logistique particulièrement minutieuse. L’obstacle de la langue est également à prendre en compte, c’est un handicap supplémentaire dans le parcours des migrants, au moment du secours mais également dans tout le parcours d’accueil qui va suivre.

Tenter de sensibiliser les jeunes à ces problématiques est un acte militant fort ! Un immense merci à Sabine et Philippe pour leur gentillesse et leur écoute.

 

1- L’Agence européenne de garde-frontières et de garde-côtes (Frontex) a pour rôle d’aider les Etats membres de l’Union européenne et de l’espace Schengen à sécuriser leurs frontières extérieures. Sa principale mission est de contrôler les migrations vers le continent européen.

Une classe de « Prépa-Seconde » au Lycée LES EUCALYPTUS ouvrira à la rentrée 2024 !

Le lycée Général et Technologique LES EUCALYPTUS a été choisi comme établissement pilote dans le département des Alpes maritimes pour accueillir à la rentrée 2024 une classe de « prépa seconde ». Celle-ci sera ouverte aux élèves n’ayant pas obtenu le brevet des collèges et souhaitant conforter leurs connaissances et compétences. Ils pourront ainsi aborder la classe de seconde générale et technologique ou la classe de seconde professionnelle en renforçant leurs acquis et débuter un cycle lycée en étant plus solide face aux attendus du lycée.

Reposant sur le volontariat des élèves de 3ème, la classe prépa-seconde accueillera à la rentrée 2024, au sein du lycée LES EUCALYPTUS ceux d’entre eux qui auront été identifiés en amont par leurs professeurs de 3ème comme pouvant tirer bénéfice de ce dispositif et qui sont volontaires.

Pour qui ?

La « prépa-seconde » s’adresse aux élèves de 3ème qui sont admis en seconde (générale et technologique ou professionnelle) lors du dernier conseil de classe de l’année scolaire mais qui n’ont pas obtenu le diplôme national du brevet (DNB).
La classe « prépa-2de » ne s’adresse pas aux élèves de 3e pour lesquels le conseil de classe du 3e trimestre propose un redoublement.
La classe « prépa-seconde » s’adresse aux élèves de 3e pour lesquels le conseil de classe du 3e trimestre propose une admission en 2de MAIS anticipe des difficultés éventuelles en lycée et une possible non-obtention du DNB.

Pourquoi ?

Débuter les années lycée sans avoir acquis un socle solide de connaissance et de compétences dans les enseignements du collège, c’est courir un risque important d’échec. Même si l’élève a été affecté dans une classe de seconde, cela ne lui assure pas un niveau adapté. Seul l’acquisition du brevet des collège peut attester d’un minimum de niveau requis pour aborder les années lycées dans des conditions correctes. Ainsi à la rentrée 2024, les élèves volontaires qui n’ont pas réussi le brevet et qui sont désireux de consolider leurs acquis du collège pourront se préparer au mieux à la classe de seconde sous statut scolaire qu’ils ont envisagée en suivant les enseignements de la classe de seconde prépa Lycée.

Comment ?

La « prépa-seconde » leur permettra de se familiariser avec les pratiques et méthodes du lycée, de se donner du temps pour des apprentissages solides. Elle repose sur une pédagogie de projet qui s’applique aussi bien aux contenus disciplinaires tournés vers les savoirs fondamentaux qu’aux heures destinées à la méthodologie et à la poursuite du parcours. Durant cette année de classe « prépa-seconde », les élèves pourront confirmer ou mieux définir leur projet d’orientation, voire le modifier.

Les candidatures seront dans un premier temps recensé par les collèges d’origine.

Quels objectifs concrets pour cette classe ?

      • Une pédagogie de projet au service de la mobilisation des élèves
      • L’adaptation des parcours aux besoins et aux projets d’orientation des élèves
      • L’encadrement et l’accompagnement favorisé par un effectif réduit
      • Un suivi individualisé (diagnostic en début d’année, bilans réguliers) en lien avec les familles
      • Une évaluation bienveillante, formative, valorisant les points forts des élèves
      • Une attestation de fin de cycle qui constate les progrès et l’engagement des élèves

Pour de plus amples informations vous pouvez vous rapprocher de l’équipes de direction du collège de votre enfant et de la Psychologue de l’Education nationale référente de votre établissement.

Une fois les sélections passées et l’affectation rendue par l’Inspecteur d’Académie, l’équipe de direction du lycée LES EUCALYPTUS prendra attache avec vous pour les opérations d’inscription, d’information et les modalités d’accueil en septembre 2024.

Le lycée Les Eucalyptus bien représenté au CHALLENGE ENERGIE MIXTE

Félicitations à Juliette, Ranîya, Alice, Manon et Valentine pour leur réalisation de site web récompensée par le prix « coup de cœur » (Onet Technologies) obtenu lors de la 6ème édition du Challenge Energie Mixte, jeudi 16 mai 2024 !

L’objectif étant de favoriser la féminisation des métiers techniques et scientifiques dans le secteur de l’énergie, pour la 6ème année consécutive, le Campus d’Excellence Industrie du Futur – Sud a renouvelé, en partenariat avec le groupe EDF, le projet innovant et porteur du Challenge Énergie mixte.

Cette année, la finale s’est déroulée au Lycée d’Argensol, grande et riche journée, avec rencontres, visites, concert de musique et ateliers découverte, avec en clôture moment festif et remise des prix. Pour sa 4ème participation, le lycée Les Eucalyptus a été particulièrement bien représenté, cinq jeunes filles issues de différentes classes et filières scientifiques ont participé à l’évènement : Juliette AUDOLLENT et Ranîya BOUHATA de 2nde 3, Alice LIN de 2nde 5, Manon BENAZZI de 1ère STI2d2 et Valentine FUMEY de 1ère G2, bravo pour leur investissement ! Nos élèves ont restitué un projet sous format numérique avec ; jeu, témoignage, et articles portant sur la question de la mixité et les énergies renouvelables.

Ce concours a plusieurs visées : sensibiliser des collégiennes et lycéennes de la région Sud aux carrières scientifiques et techniques ; leur permettre de découvrir les métiers du secteur de l’énergie ; rencontrer des professionnelles ; entendre des possibilités de parcours différents ; encourager la mixité. Lors de débats les jeunes interlocutrices sont invitées à réfléchir sur les stéréotypes, les injustices, les enjeux de la mixité en entreprise toujours en question… et à élargir leurs perspectives sur la question de l’orientation.
Stéréotypes, manque d’informations… de nombreux freins existent encore et n’incitent pas les jeunes filles à intégrer, à tous les niveaux, les branches techniques et scientifiques. Certains témoignages prouvent justement le contraire, découvrir les nombreux métiers qui s’offrent aux femmes notamment dans la filière de l’énergie et du nucléaire, pourra peut-être donner envie à nos élèves !

Bravo pour le travail et l’investissement de nos élèves, ainsi que l’aide et le soutien de Mme Cluzel, leur enseignante.