Compte rendu de la journée de la remise officielle du parrainage citoyen 2016.
Tout d’abord, il faut rappeler que cette journée a pu être organisée grace à M. Le préfet Adolphe COLRAT, Monsieur le Maire, Christian ESTROSI et le délégué militaire départemental, le Colonel Jean-Pierre BEDDU.
La réception a eu lieu à la villa Masséna, à Nice, en présence de Monsieur le Préfet, Monsieur l’inspecteur d’académie, Monsieur le Colonnel Jean-Pierre BEDDU et Monsieur le Capitaine MASSINI. Des membres d’associations comme la légion d’honneur et d’anciens combattants étaient également présents.
Notre élève, Marine BARNOIN, reçu cette distinction.
Le représentant de la ville, a insisté sur la nécessité d’une telle reconnaissance, et l’importance que cela revêt pour la jeunesse.
Monsieur le Préfet s’est félicité que la ville de Nice célèbre cette distinction.
La compétition s’est déroulée dans l’Yonne sur 3 journées. Le mercredi, les 16 équipes se sont rencontrées en 4 poules de 4. Nous sommes placés avec Villeneuve sur Lot, Meylan et Montceau les Mines.
Notre premier match est compliqué face à une solide équipe du Lot et Garonne emmenée par un n°8 très impressionnant ! Nous nous inclinons en deux manches nettes 25/20 25/14. Rien à dire. Il va falloir se reprendre pour espérer sortir en bonne position.
Le deuxième match est déjà décisif puisque Meylan a gagné contre Montceau les Mines. En cas de défaite, nous ne pourrons plus accéder à la poule haute des 8 meilleurs. Nous perdons le premier set, notre jeu est encore trop timide. La machine se met progressivement en route au milieu du deuxième set et nous ne lâcherons plus la tête. L’équipe s’impose avec beaucoup de sérieux en 3 sets. Nous sommes à présent lancés.
En fin de journée, nous rencontrons Montceau les Mines dont le compteur est toujours vierge. Les niçois abordent ce match avec le plus grand sérieux et prennent les devants dès l’entame de la rencontre. Victoire en 2 sets synonyme de 2ème place de poule !!
Jeudi, nous abordons la phase finale. En quart, c’est l’ogre messin qui se dresse devant nous. L’équipe est composée de 6 joueurs du même village ( Maizières ), évoluant ensemble en club depuis des années. La cohésion de ce groupe est totale, les automatismes et la variété de leur jeu nous déstabilise. Nous devons nous incliner, sans avoir à rougir. Les garçons se sont battus mais la marche était trop haute face à une équipe qui sera vice-championne de France ( battue seulement en finale par Sète et ses joueurs de pôle ).
Notre course continue. C’est autour de St-Etienne de nous défier. Là aussi, nous avons affaire à un groupe très homogène avec quelques belles individualités. Le premier set est remporté par les stéphanois 25/22 et nous sentons qu’il est possible de les bouger. Nous mettons un peu plus de pression au filet, notre équipe se lance complètement dans la bataille. Des balles de sets en notre faveur sont sauvées par les verts qui ont le dernier mot en nous passant sur la ligne, 30/28 ! Vraiment dommage, nous aurions mérité un troisième set.
Le dernier match vendredi attribue notre place définitive sur le plan national. Ce sera la 7 ou la 8. Et c’est la capitale que nous prenons d’assaut : Paris, qui a battu en poule nos voisins d’Aix en Provence ( les champions de notre inter-académie ). Nous ne sommes pas impressionnés et déroulons notre jeu. Nous passons devant dans chacun des sets mais il nous manque la vista pour enfoncer le clou à chaque manche. C’est Paris qui s’impose 25/23 25/23. Rageant ! Nos joueurs accusent le coup, la frustration est présente car nous aurions aimé finir par une dernière victoire.
Malgré tout, c’est un bilan très positif. Nous sommes au 8ème rang national. Que de chemin parcouru pour cette équipe ! On se souvient notamment que nous avions obtenu notre qualification académique aux forceps contre Cannes ( 15/13 au 3ème set ! ).
L’an prochain, notre effectif sera le même quand la plupart des autres équipes perdront leurs meilleurs éléments. Le groupe mettra à profit l’expérience engrangée cette année et voudra se hisser encore plus haut à l’échelon national. Elle pourra alors écrire une autre belle page de son histoire. Bravo Luca, Evan, Thomas, Hugo et Gaël alias Narvalo, Navé, Mino, Archi et Kéké !! Vive les Eucalyptus !!
Que fait-on en Enseignement Technologique en Langue Vivante 1? A quoi sert cette matière au programme de STI2D? Voici quelques explications sérieuses (version professeur) et un exemple plus drôle (version élève) de ce qui peut être fait par nos élèves de STI2D.
La version « prof »
Futurs techniciens ou Ingénieurs, les élèves de STI2D seront amenés à travailler avec des fournisseurs ou des clients étrangers. L’anglais sera alors le moyen de communiquer avec ces partenaires allemands, tchèques, italiens ou écossais. Il est donc légitime que ces élèves se préparent à s’exprimer en anglais sur des sujets technologiques.
En terminale, les élèves passent une épreuve d’Enseignement Technologique en Langue Vivante 1. Lors de deux épreuves orales spécifiques, ils doivent communiquer en anglais sur le projet qu’ils conduisent en enseignement de spécialité (ITEC, SIN, EE, AC). En s’appuyant sur un diaporama incluant des documents techniques ou différents médias, ils doivent expliquer le but de leur projet, leur organisation, les travaux qu’ils ont menés et les résultats qu’ils ont obtenus (expérience, maquette numérique, simulation, prototype).
La version « élève »
Peu importe le moyen, le but est donc de faire en sorte que les élèves s’emparent d’un sujet technologique et communiquent dessus en anglais. M. BESSIERE et M. BEYRIS ont demandé à leurs élèves de première de réaliser un « tuto » sur un système ou un logiciel qu’ils utilisent dans leurs laboratoires STI2D (enseignement de spécialité ou enseignement transversal). Une liberté totale était laissée sur le scénario et le ton de la vidéo pour peu qu’il y ait du contenu.
Les élèves, habitués à regarder ces petites vidéos, ont surpassé les attentes de leurs professeurs en répondant parfaitement au sujet posé… et en ajoutant leur touche personnelle. Duncan, Julien, Jennifer et Matthieu vous expliquent donc en images et en anglais ce qu’est Flowcode, un logiciel qu’ils utilisent en SIN pour programmer des cartes électroniques (ARDUINO, E-blocks). Attention les yeux et les oreilles!
Le thème du colloque étant « L’éducation à la défense : expertise, enjeux et formation ».
L’accueil a eu lieu à 8 heures, dans un esprit très accueillant et convivial. L’association régional IHEDN, présidé par M. PERRIER (Pour le Var et la Corse) et M. TAFANI (Président Côte d’azur) étant donc représentée. Les deux présidents ont eu la parole, suivi du grand chancelier des universités : Monsieur Emmanuel ETHIS !
M. Tristan LECOQ étant bloqué dans les grèves nationales, le programme a été quelque peu chamboulé, et c’est finalement le général BARAU qui a pris la parole ainsi que Monsieur BARAULT Eric, délégué à l’éducation à la défense DEGESCO MEN).
Après un frugal repas, nous avons pu visiter la base et les sites d’entrainements dont dispose cette base.
Nous avons repris la route à 17h15.
Si je dois conclure sur le message général de ce rendez-vous, ce serait un message qui veut rapprocher la jeunesse avec de l’esprit de la défense, en ces temps tourmentés.
L’armée est prête à faire face, c’est incontestable ; mais elle ignore si elle est préparée à ces dangers qui nous menacent de l’intérieur et qui pourrait nous faire tomber dans une guerre de civilisation. Le message de vigilance est à l’ordre du jour.
Atelier de calligraphie Japonaise avec Kikou, Professeur de calligraphie japonaise
Par le biais de la visite de l’exposition permanente, connaissances des matériaux utilisés dans des civilisations anciennes que sont la Chine et l’Inde principalement, mais aussi japonaise, coréenne (laque, cuir de buffle ou de daim, soie, terre, jade, corde…).
L’atelier de calligraphie
Kikou souligne l’importance de la posture et de la nécessaire concentration pour tenir le pinceau avec souplesse et fermeté : le coude ne doit pas toucher la table et être toujours droit, ne pas croiser les jambes, le dos ne touche pas le dossier. L’encre noire et grasse doit imprégner généreusement le pinceau pour permettre les « pleins et les déliés ».
Tracer des traits verticaux (toujours dans le sens de la descente), horizontaux (toujours vers la droite)…
Essais pour écrire le mot « montagne » (la consigne est d’abord de se concentrer et d’observer avant de copier au plus proche)
Visite du musée
Le musée en lui-même est une œuvre d’art, qui utilise architecturalement la technique du béton en porte à faux au dessus de l’eau et qui privilégie deux formes : le carré qui symbolise la terre et le cercle : le ciel, un tout comme le ying et le yang.
Les quatre espaces de l’exposition permanente du premier étage (le sous sol et le premier étage étaient inaccessibles en vue de la préparation de la prochaine exposition sur la Corée en juin) témoignent de quatre civilisations : le Japon, la Chine, l’Inde et l’Asie du Sud Est.
Ces cultures s’observent grâce à un choix d’objets du quotidien (théière chinoise en bois recouverte de multiples couches de laque ou tambours de pluie en bronze), d’événements cérémoniels (tenue de samouraï constituées d’une dizaine de matières dont 3500 morceaux de petits rectangles de bois articulés et assurant légèreté et protection), religieux (statues de divinités indiennes dont les pouvoirs bienveillants ou démoniaques se traduisent par toute une symbolique qui dit un monde toujours en transformation…) ou historique ( un paravent chinois de plusieurs panneaux, sorte de bandes dessinées racontant toute une épopée).
Témoignages d’élèves
Tristan : Le musée m’a vraiment plu car j’aime beaucoup l’histoire. La chose qui m’a le plus surpris, c’est l’âge des créations des objets des différentes cultures.
Pédro : La calligraphie japonaise m’a plu, c’était intéressant et la visite était bien faite. Alexandre : J’ai bien aimé l’atelier de calligraphie japonaise et l’histoire de la Chine et de l’Inde. Wissem : J’aime bien les statues de l’Inde et l’écriture en japonais. J’ai appris beaucoup de choses.
Jeudi 21 et vendredi 22 avril, Pierre Coullet, physicien, de l’Université de Nice Sophia Antipolis rencontre dans le cadre du projet Médites, les élèves de 1ère carrosserie pour un artifice d’expériences inattendues…
Découvrir les sciences d’une autre façon telle est l’ambition du projet « Médites » réunissant collégiens ,lycéens et étudiants autour d’expériences scientifiques et techniques pour, au final créer des objets insolites.
Sous l’impulsion de Sylvie Stacchino, professeure de mathématiques et sciences physiques et de Régine Jullien professeure documentaliste, toutes deux référentes du projet, le rendez-vous pour exposer les objets créés est pris le 27mai à la Faculté des Sciences de Valrose.
Mais en attendant, afin d’éveiller la création, Pierre Coullet vient au lycée avec son miroir cabossé. Dès le commencement, il suscite la curiosité. Les élèves sont captés par cet objet qui déforme, transforme, revisite les corps, les lumières, les proportions. Tel un kaléidoscope de l’imaginaire, ce « beau miroir » leur permet de se photographier.
Les selfies pleuvent, les rires avec.
La magie a opéré.
Alors s’exerce un partage de savoir faire entre Pierre Coullet, les élèves de carrosserie et Marcel Veraguas leur professeur. Monsieur Veraguas: « Un professionnel développe un toucher afin de repérer les défauts d’une carrosserie ».
Monsieur Coullet avec une feuille de papier de grand format et une petite lampe à leds arrive au même résultat. Magique ? Non, le principe est le même que celui du miroir déformé. La carrosserie joue le rôle du miroir que l’on éclaire et dont les défauts sont projetés sur la feuille de papier.
La rencontre riche en expériences se clôture dans l’intimité obscure de la salle de cours où à l’aide de son miroir, « l’illusionniste » joue de projections aériennes et onirique sur fond de musique techno nous faisant tous voir combien la science est le champ des possibles artistiques.
PARTICIPATION AUX CHAMPIONNATS DE FRANCE DE SAUVETAGE SPORTIF EDITION 2016
Cette année, les sections Technicien d’Usinage et Technicien d’Outillage ont eu l’occasion de faire la démonstration de leur savoir faire.
En effet à l’occasion de la tenue des championnats de France de sauvetage sportif qui se sont déroulés les 22,23 et 24 Avril à Nice, un projet de grande Ampleur a pu être mis en place .
La genèse du projet
Ce sport qui comprend un grand nombre de séquences en immersion se trouve du coup assez peu visuel pour le public.
De ce constat est né l’idée de filmer et diffuser en direct les gestes réalisés par les athlètes.
Déroulement du projet
Après avoir choisi le type de caméras utilisées, la phase de conception a permis d’aboutir à l’élaboration d’un caisson immergeable spécifique , celui-ci permettra d’alimenter la caméra en énergie et de récupérer un signal vidéo permanent .
Un support est également dessiné afin de pouvoir maintenir la camera au fond de la piscine et de pouvoir l’orienter facilement :
Dans un second temps
Réalisation des pièces par les sections Usinage et Outillage, puis assemblage des caissons :
Livraison des caissons la veille des épreuves , immersion des caméras le jeudi 21 avril au soir .
Elles resteront sous l’eau plus de 96h ………
Retransmission live des épreuves sur écran géant
Au final …
Les 6 cameras ont fonctionné, aucune reprise d’humidité ni fuite.
2 d’entre elles ont subi des chocs violents sans conséquences.
Ce concours national organisé par l’Union des Professeurs de Sciences et Techniques Industrielles (UPSTI) a pour but d’apprécier et de récompenser des projets expérimentaux en sciences de l’ingénieur, menés par des équipes de lycéens pendant plusieurs mois. Cette action vise à développer chez les élèves l’esprit d’initiative, le goût pour la recherche et les compétences de l’ingénieur.
La première étape est la sélection académique à l’issue de laquelle le jury désignera l’équipe qui disputera la finale à Paris. Plusieurs critères d’évaluation sont retenus : la réalisation pratique du projet, la qualité des solutions technologiques expérimentales, la formulation d’hypothèse, la capacité d’innovation, la qualité de la présentation et le dynamisme des participants, etc.
Cette année, 5 équipes de T SSI du lycée des Eucalyptus ont concouru et c’est le projet «neuroprothèse » qui a été sélectionné pour participer à la finale. Cette innovation permet, à l’aide d’un casque arceau, de capter les signaux du cerveau afin d’entraîner des mouvements similaires à la marche, chez un paraplégique portant une prothèse.
Merci aux Sociétés Art et Clim et Aria Chauffe qui ont sponsorisé ce casque et félicitations à Bastien BONDI, Kélian BAILET et Thomas GODFROID –ALZIARI. Rendez-vous à Paris pour la finale le 18 mai prochain.
Quel rapport y a t-il entre le conversion d’énergie dans une centrale hydraulique, la stabilité d’un pendule inversé, le freinage par courant de Foucault, la résistance des suspentes de parapente, les efforts aérodynamiques sur une aile d’avion, ou encore l’optimisation d’un composite carbone-époxy? Ce sont tous des sujets de TIPE, choisis cette année par des étudiants de Psi, deuxième année de préparation aux écoles d’ingénieurs.
Le travail d’initiative personnel encadré, ou TIPE, est une épreuve commune à la plupart des concours d’entrée aux Grandes écoles scientifiques. Le but est de faire découvrir aux étudiants la démarche scientifique de l’ingénieur en valorisant leur autonomie et leur esprit d’initiative. Les candidats réalisent pour cela une étude sur un sujet de leur choix, cette étude comportant une partie théorique appuyée par une expérimentation ou une simulation. Il leur faut donc, le plus souvent, concevoir une maquette permettant de mettre ne évidence le phénomène physique qu’ils souhaitent étudier.
Dans le cadre de la réalisation des maquettes il a été entrepris au sein de la cité scolaire des Eucalyptus de mettre en relation les élèves de Psi et les élèves de BAC PRO Etudes et définition de produits Industriel, spécialisé dans la conception. A l’aide de croquis à main levé, de l’outil numérique solidworks les élèves ont se sont attelés à trouver différentes solutions aux problèmes de fonctionnement et de montage des maquettes.
Au terme des ces échanges les pièces conçus ont été imprimées en 3D et assemblées pour permettre l’expérimentation des différents thèmes .
Au final les élèves de seconde bac pro EDPI ont assisté à la soutenance oral des PSi, leur permettant d’avoir une vision claire et concrète du travail réalisé en équipe.
L’événement s’est produit le 14 septembre 2015 à 11h51 heure de Paris.
Il a été détecté le même jour aux Etats-Unis à peu près à la même heure. Il a été rendu public sur les plus grandes chaines de télévision le 11 février 2016 :
Et c’est le 24 mars 2016 que Nicolas Arnaud, chercheur au CNRS et collaborateur du programme VIRGO l’a confirmé à la classe de 1S SI du lycée Les Eucalyptus par visioconférence (1).
Prédites par Albert Einstein en 1915 dans sa théorie de la relativité générale, mais jamais détectées jusque-là, les ondes gravitationnelles ressenties le 14 septembre sont la conséquence de la fusion de deux trous noirs. Cet événement est extraordinaire à plusieurs titres :
D’une part, il confirme l’existence des trous noirs (2) , qui n’avait jamais été validée auparavant
D’autre part, il permet de confirmer expérimentalement une théorie scientifique élaborée alors que les moyens techniques ne permettaient pas à l’époque de mettre en place les expériences nécessaires à leur validation ( comme certains éléments du tableau périodique des éléments prévus par Mendeleiev, la planète Neptune, ou plus récemment, le boson de Higgs)
Et enfin, il couronne les efforts de milliers de scientifiques ayant contribué à la mise au point d’appareils de mesure si performants qu’ils sont capables de mesurer la variation de longueur d’un bras de 100 km inférieure à un milliardième du diamètre d’un atome !
Qu’est-ce que les ondes gravitationnelles ?
Ce sont des sortes de vibrations qui compriment et dilatent à la vitesse de la lumière l’espace-temps qui nous entoure.
L’instrument de mesure ?
Un ensemble d’interféromètres de type Michelson.
Pour en comprendre le fonctionnement :
Ce sont les deux appareils du programme LIGO aux Etats-Unis qui ont capté le signal, alors qu’ils venaient d’être remis en service après avoir fait peau neuve pour améliorer leurs performances.
Pour voir le signal:
Leur équivalent VIRGO du programme européen, situé près de Pise, sera à son tour remis en service en mai 2016. Les deux programmes travaillent en étroite collaboration pour permettre une analyse encore plus fine des résultats.
La fusion des deux trous noirs s’est produite il y a un milliards d’années !
Simulation de cette fusion:
D’où l’émotion de tous ces chercheurs, et en particulier celle de Nicolas Arnaud, que nous remercions d’avoir bien voulu nous la faire partager deux heures durant ! (Si le temps nous l’avait permis, nous serions bien restés ensemble une heure de plus !) Journal du CNRS consacré à cette découverte:
(1)Deux écrans et une webcam dans la salle de classe : un écran pour voir le chercheur, un écran pour voir ses documents et la webcam pour qu’il nous voie. (2)Trou noir : corps tellement massif que les forces de gravitation qu’il exerce empêchent même la lumière ou toute onde électromagnétique de s’échapper : aucune émission ni réflexion, le trou noir est invisible !