Vendredi 10 février, l’écrivain Gilles Marchand est venu au lycée des Eucalyptus pour présenter son roman « Une bouche sans personne » aux élèves de première MVA1 et ce, à l’initiative de leur professeure de français, Nadine Géhin.
Vendredi 10 février, l’écrivain Gilles Marchand est venu au lycée des Eucalyptus pour présenter son roman « Une bouche sans personne » aux élèves de première MVA1 et ce, à l’initiative de leur professeure de français, Nadine Géhin.
« Un comptable à la vie bien réglée a des habitudes dans un petit café où des liens forts se sont tissés avec Lisa, la serveuse et quelques habitués. Ce sont des gens un peu inadaptés, des solitudes amies qui prennent plaisir à se retrouver. Un soir, l’écharpe qui cache le bas de son visage en permanence va être tachée de café. Pourquoi ce visage est-il dissimulé ? »
Des questions sont posées, il est temps pour le narrateur de se raconter…
A la fois conte, poésie, histoire individuelle et histoire collective, ce roman en lien avec le programme de terminale bac professionnel creuse la question de la mémoire et de la filiation.
« Une bouche sans personne » a trouvé son public car tour à tour joyeux et triste, léger et profond, ce roman a su briser la réserve des élèves par sa simplicité et la force qu’il dégage. Au CDI, l’intérêt était collectif. De la lecture par l’auteur d’un passage empreint de douce folie et aux questions des élèves, on est passé à la confidence et à la révélation du drame d’Oradour. Deux heures de réel bonheur : celui de l’écoute et du partage.
Des questions pour Gilles : Comment passe- t’on de batteur dans un groupe de rock à écrivain ? Comment le goût des mots vous permet-il d’attraper la gravité avec la légèreté de l’enfance ? Comment réussit-on à parsemer de mystères et de fantaisie une histoire de famille ? C’est peut- être, nous dit Kaïs parce que Gilles a su parler de la vie à travers ses rires et ses blessures.
Des questions sont posées, il est temps pour le narrateur de se raconter…
A la fois conte, poésie, histoire individuelle et histoire collective, ce roman en lien avec le programme de terminale bac professionnel creuse la question de la mémoire et de la filiation.
« Une bouche sans personne » a trouvé son public car tour à tour joyeux et triste, léger et profond, ce roman a su briser la réserve des élèves par sa simplicité et la force qu’il dégage. Au CDI, l’intérêt était collectif. De la lecture par l’auteur d’un passage empreint de douce folie et aux questions des élèves, on est passé à la confidence et à la révélation du drame d’Oradour. Deux heures de réel bonheur : celui de l’écoute et du partage.Des questions pour Gilles : Comment passe- t’on de batteur dans un groupe de rock à écrivain ? Comment le goût des mots vous permet-il d’attraper la gravité avec la légèreté de l’enfance ? Comment réussit-on à parsemer de mystères et de fantaisie une histoire de famille ? C’est peut- être, nous dit Kaïs parce que Gilles a su parler de la vie à travers ses rires et ses blessures.
En effet, « Une bouche sans personne » est une histoire de vie éblouissante, fragile et belle. J’ai un poème et une cicatrice » ainsi commence le livre.
Cette aventure fracassante et drôle a éveillé la présence et l’écoute de tous. Oui, cette rencontre a quelque chose de singulier qui résonne encore pour chacun comme un supplément d’âme.
Alors Gilles, le lycée vous attend avec impatience, vous et votre prochain roman.
Cette aventure fracassante et drôle a éveillé la présence et l’écoute de tous. Oui, cette rencontre a quelque chose de singulier qui résonne encore pour chacun comme un supplément d’âme.
Alors Gilles, le lycée vous attend avec impatience, vous et votre prochain roman.
